Le film commence avec une baleine à bosse échouée sur un rivage isolé. Alors qu’un groupe d’hommes et de femmes organise son sauvetage, nous découvrons l’histoire extraordinaire des cétacés, citoyens des océans du monde, essentiels à l’écosystème de notre planète depuis plus de 50 millions d’années.
Jean-Albert Lièvre a pris le parti de tourner Les gardiennes de la Planète différemment pour privilégier la mobilité des tournages avec une équipe réduite au minimum (2-3 personnes) et en travaillant avec des professionnels sur place : des pêcheurs, des plongeurs, les « dronistes » et des ingénieurs du son locaux.
Le film nous emmène aux quatre coins du monde, à la rencontre de plusieurs d’entre elles (la baleine franche filmée en Argentine, la baleine boréale et ses fanons géants de quatre mètres de long observée au Groenland, le cachalot au large de l’Île Maurice, la baleine grise et la baleine bleue au Mexique et la baleine à bosse observée entre autres à Tahiti, aux Îles Tonga et en Afrique du Sud). Utilisé dans le langage courant, le terme générique « baleine » cache une grande diversité de mammifères de l’ordre des cétacés. Certaines baleines ont des fanons, ces lames cornées qui ornent leur mâchoire supérieure. D’autres ont des dents, leur permettant d’attraper des plus grosses proies.
Les Gardiennes de la Planète se définit comme un film tous publics qui aborde les questions de l’environnement et la protection de la biodiversité tout en restant accessible et pédagogique pour les enfants de 7 à 77 ans.
Un dispositif pédagogique important est mis en place autour du film :
- -Un kit pédagogique sur le film aux éditions Belin Education, conforme aux programmes scolaires & technologie 6e et de SVT cycle 4 ainsi que des CM1 & CM2.
- -Baleines – Les gardiennes de la planète de François Place, l’album documentaire jeunesse tiré du film et disponible en librairie dès le 8 février.