La Circular Valley organise une réunion au sommet avec des experts de l’eau

L’économie circulaire est une thématique clé dans le contexte de la gestion durable des ressources naturelles. L’un des enjeux majeurs de notre époque est la pénurie d’eau, un problème qui touche plusieurs régions du globe et s’intensifie avec les changements climatiques. Afin de répondre à ce défi, l’initiative Circular Valley a organisé un sommet dédié à l’eau, réunissant experts, responsables politiques et acteurs économiques. Ce sommet, qui s’est déroulé au Wilopark de Dortmund, a permis d’aborder cette problématique sous divers angles. Voici un compte rendu détaillé de cette rencontre et de ses principaux enseignements.

Le contexte de l’initiative Circular Valley

Circular Valley est une initiative visant à promouvoir une économie circulaire, où les ressources sont réutilisées de manière durable pour minimiser les déchets et préserver l’environnement. Dans ce cadre, l’eau, ressource essentielle à la vie et à l’économie, occupe une place centrale. En tant que bien commun, l’eau doit être gérée de manière responsable afin de faire face aux pressions exercées par l’urbanisation, l’industrie et les changements climatiques.

C’est dans cet esprit que Circular Valley a organisé ce sommet. En collaborant avec le Groupe Wilo, un acteur de premier plan dans les technologies de l’eau, les organisateurs ont souhaité offrir une plateforme de discussions et de solutions sur la gestion durable de cette ressource.

Un cadre de prestige pour des discussions stratégiques

Le sommet s’est tenu dans un lieu emblématique : le Networking Cube du Groupe Wilo, situé au Wilopark de Dortmund. Cet espace moderne et convivial a été conçu pour encourager les échanges entre partenaires du marché. Le cadre prestigieux a contribué au succès de l’événement, comme l’a souligné Georg Weber, Directeur Technique du Groupe Wilo. Selon lui, « des événements comme le sommet de l’eau rassemblent des experts, ce qui leur permet d’échanger et de réseauter les uns avec les autres. »

La participation d’acteurs clés de l’économie et de la politique a permis d’aborder la question de l’eau sous plusieurs angles. Tous les participants ont pu partager leurs points de vue et leurs expériences, favorisant ainsi un dialogue constructif.

L’innovation au cœur des discussions

L’une des principales conclusions de ce sommet est l’importance de l’innovation dans la gestion de l’eau. Günter Poppen, coordinateur du projet Circular Valley, a clairement exprimé ce besoin : « Il devient évident que des innovations technologiques sont nécessaires de toute urgence. » Que ce soit pour améliorer les infrastructures ou pour gérer plus efficacement les ressources, les innovations jouent un rôle central dans la réponse à la crise de l’eau.

La collaboration entre les différents acteurs présents a mis en lumière le rôle essentiel du réseautage et des discussions interdisciplinaires. Celles-ci permettent non seulement d’échanger des idées, mais aussi de créer des synergies pour le développement de solutions innovantes.

Des interventions marquantes et variées

Le programme du sommet a permis d’aborder la gestion de l’eau sous des angles divers, en associant des acteurs issus de différents secteurs :

L’association Wupperverband a mis en avant « l’organisation durable et la valorisation des données » pour une meilleure gestion de l’eau.

L’Emschergenossenschaft, une organisation publique des eaux allemandes, a évoqué le concept de « moment décisif » dans la gestion de l’eau.

Le Borussia Dortmund, célèbre club de football, a présenté le concept de ville éponge, visant à mieux absorber et gérer l’eau de pluie dans les zones urbaines.

Bayer AG a souligné l’importance des « solutions décentralisées pour les eaux usées », adaptées aux zones où les stations d’épuration traditionnelles ne sont pas viables.

Le Groupe Wilo a quant à lui présenté ses « activités dans le cadre du Pacte Bleu pour l’Europe » et sa feuille de route pour la gestion de l’eau à l’horizon 2030.

Ces présentations ont montré la diversité des approches et des solutions, mais aussi l’urgence d’agir face à la pénurie d’eau.

Vers une collaboration à long terme

Si cet événement a été un succès, il ne marque que le début d’une collaboration plus vaste. Günter Poppen a souligné que « le sommet de l’eau au Wilopark n’était que le point de départ d’une collaboration à long terme. » Les échanges fructueux entre les participants ouvrent la voie à des partenariats durables pour faire face aux défis liés à la gestion de l’eau.

Pour conclure, ce sommet a mis en exergue l’importance du travail collectif et de l’innovation dans la résolution de la crise de l’eau. Les initiatives comme Circular Valley, en réunissant des acteurs de différents horizons, sont essentielles pour trouver des solutions durables et assurer un avenir meilleur en matière de gestion des ressources en eau.

Ce sommet n’est qu’un exemple parmi d’autres des efforts déployés à l’échelle mondiale pour gérer plus durablement nos ressources naturelles. La collaboration et l’innovation sont des leviers indispensables pour relever les défis environnementaux du XXIe siècle.

A propos de Wilo

Le Groupe Wilo est l’un des plus grands fabricants au monde de pompes et de systèmes de pompage destinés au marché du Bâtiment résidentiel et collectif, du Cycle de l’Eau et de l’Industrie. Au cours de la dernière décennie, nous sommes passés d’un acteur discret à un leader visible et connecté. Aujourd’hui, Wilo compte environ 8 974 collaborateurs à travers le monde et un chiffre d’affaires de 1,9 milliards d’euros. Nos solutions innovantes, nos produits intelligents et nos services déplacent l’eau de manière intelligente, efficace et respectueuse de l’environnement. Nous sommes d’ailleurs aujourd’hui le pionnier du numérique dans l’industrie des pompes.

Soucieux de l’environnement, le Groupe Wilo considère le développement durable comme une réelle fonction transversale. Nous faisons d’ailleurs partie des « 50 Sustainability & Climate leaders » et notre siège social de Dortmund est certifié Leed Or et DGNB Or pour sa neutralité climatique.