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Il va falloir

Et c’est reparti pour un tour.

La loi sur l’immigration a été retoquée par le Conseil Institutionnel ? La revoilà qui arrive encore plus dure mais chevauchant un cavalier dont c’est le droit.

Alors passera ? Passera pas ? Tout dépend de la volonté des politiques de ne pas céder à la pression de l’extrême droite qui comme l’ex gouvernement démissionnaire, fait comme si elle était au pouvoir.

Certes de nombreux, trop nombreux, français ont votés malheureusement pour cette engeance brune.

Mais, il est encore plus vrai que la très grande majorité des français ne pensent pas, heureusement, comme elle.

D’ailleurs, le dernier tour des votes l’a confirmé.

Mais comme bien faire de la politique pour ces gens la sait bien savoir mentir, ou plutôt pratiquer le déni de Démocratie, seule la force est de mise.

Et voici les membres de la Cee qui s’y mettent à vouloir durcir la loi sur les immigrés.

Et, curieusement, mais pas trop, la France est porteuse de ce nouveau beau projet solidaire… L’encore Président est content, non pas de son voyage en succursale de la Cee – en cela il est habitué de tenter prendre la lumière – mais du ruissellement qui enfin donne raison à son mantra.

Mais, après recherches complémentaires, il s’avère qu’il s’agit de celui des eaux qui inonde nos champs, vallées et villages, bourgs, villes.

Tant pis pour lui, passons à autre chose… Alors que sur les plans national, international l’extrême droite montre les muscles, copiée en cela par la droite extrême, contre l’immigration, un autre grand remplacement risque bien de tomber sur le territoire national.

Des régions voient de plus en plus les effets du réchauffement.

Les littoraux ne savent plus comment lutter contre la montée des eaux océaniques et autres mers en tout genre.

A l’intérieur, l’on étouffe sous les débordements des cours d’eau.

Les effets sur les humains seront l’obligation pour certains (beaucoup?) d’aller vivre ailleurs.

Va-t-on voir surgir des fous extrêmes dire leur volonté de dresser des frontières régionales, voire départementales et pourquoi pas cité par cité comme autrefois les combats entre saigneurs ? C’est au peuple de refuser et d’accepter l’accueil des sinistrés d’où qu’ils viennent.

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